Tuilerie, Briqueterie Dite Tuilerie Mécanique De La Grève La Grève-sur-mignon

Le site industriel dispose d'un accès par voie navigable.
Il est composé d'un bâtiment qui abrite l'atelier de fabrication, la salle des machines, les pièces de séchage et les fours datant de 1872.
Ce bâtiment a deux étages carrés et une élévation à travées.
Il est construit en brique enduite et est couvert d'un toit à longs pans en tuile mécanique.
Il y a également un autre bâtiment qui abrite les fours de 1900.
Ce bâtiment est partiellement construit en brique, moellon et essentage de planches.
Il est aussi couvert d'un toit à longs pans en tuile mécanique.
La cheminée de l'usine est en brique et mesure 22,30 mètres de haut.
Il y a également un entrepôt en brique qui est couvert d'un toit à longs pans en ciment amiante.
Enfin, il y a un logement patronal et un logement pour les ouvriers.
Ces bâtiments sont construits en brique et ont un seul étage carré.
Ils sont également couverts d'un toit à longs pans en tuile mécanique. Fondée en 1872 par les frères Vincent, la tuilerie-briqueterie a été rachetée par Laurent Caratsch.
En 1900, un nouveau bâtiment a été construit pour accueillir deux fours supplémentaires.
En 1912, Auguste Boucard et M.
Simoneau ont repris l'entreprise, puis dans les années 1920, Georges Boucard, M.
Tuzebe et Arthur Jollivet ont pris la relève.
La briqueterie s'est spécialisée dans la fabrication de briques vendues dans les départements voisins.
Jean Legatte a racheté l'entreprise en 1938, mais elle a fermé en 1968 après un important incendie.
La tuilerie-briqueterie disposait de deux fours de 1872 avec quatre chambres fonctionnant au charbon, ainsi que de deux fours à cuisson continue de 1900 alimentés également au charbon.
Une machine à vapeur G.
Pinette (Chalon-sur-Saône) est encore présente sur place.