Tissage D'étoffes élastiques Lefèbvre Et Gariel, Puis Tissage Et Usine D'apprêt Des étoffes De Laine Jules Lécailler Et Filature Tissage De Laine Ernest Lemonnier, Actuellement Atelier De Réparation A Elbeuf

24 rue Dévé 76500 Elbeuf

Présentation : Tissage D'étoffes élastiques Lefèbvre Et Gariel, Puis Tissage Et Usine D'apprêt Des étoffes De Laine Jules Lécailler Et Filature Tissage De Laine Ernest Lemonnier, Actuellement Atelier De Réparation A

En 1787, les sieurs Lefèbvre et Gariel ont construit un tissage spécialisé dans la fabrication de tissus élastiques destinés au boutage des cardes, qui utilisait du caoutchouc en dissolution. En février 1879, ils ont reçu l'autorisation préfectorale d'exploitation de l'établissement.
Après la Première Guerre mondiale, l'usine a été divisée en deux parties.
Jules Lécailler a racheté une partie pour y installer un tissage et une usine d'apprêt des étoffes, tandis qu'Ernest Lemonnier a repris l'autre partie pour y installer une filature et un tissage de laine.
Les deux usines ont fermé dans les années 1950-1960.
Aujourd'hui, l'usine est utilisée comme atelier de réparation automobile. Le 27 septembre 1879, une chaudière à vapeur d'une capacité de 2686 m³ et d'une surface de chauffe de 13,12 m², provenant du constructeur rénaux de Rouen, a été déclarée dans les établissements Lefèbvre et Gariel.
Cette chaudière alimentait une machine à vapeur d'une puissance de 5 ch.
En juillet 1890, l'usine disposait de 10 chaudières destinées à des tables à sécher et des rameuses.
En 1930, Jules Lécailler a déclaré 17 métiers mécaniques et 6 machines à fouler, tandis qu'Ernest Lemonnier a déclaré 45 métiers mécaniques et 500 broches.




Questions / réponses Tissage D'étoffes élastiques Lefèbvre Et Gariel, Puis Tissage Et Usine D'apprêt Des étoffes De Laine Jules Lécailler Et Filature Tissage De Laine Ernest Lemonnier, Actuellement Atelier De Réparation A

Ils ont construit un tissage spécialisé dans la fabrication de tissus élastiques destinés au boutage des cardes, qui utilisait du caoutchouc en dissolution.

L'usine disposait de 10 chaudières destinées à des tables à sécher et des rameuses en juillet 1890.

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