Mine De Houille De Broussous Laval-pradel

Le bâtiment est constitué de quatre parties alignées d'ouest en est, construites dans l'ordre chronologique.
La partie datant du 19ème siècle est caractérisée par des murs en pierre apparente composés de moellons de grès local et sans chaînes, ainsi que des encadrements en briques.
Le toit est en appentis massé avec des tuiles creuses reposant sur une charpente en bois.
Les ajouts du 20ème siècle sont faits en parpaings de béton enduits et ont des toits à longs pans en tuile mécanique sur une charpente métallique.
La base du chevalement et les entrées des galeries sont maçonnées en pierre avec des encadrements et parfois des chaînes de brique.
La surface totale du bâtiment est de 70 mètres carrés. Le texte parle de la mine de Trélys, qui fait partie d'un ensemble d'industries extractives.
Elle a été mise en exploitation en utilisant des galeries sur affleurement débouchant à flanc de colline, et la plus importante galerie est appelée Saint-Henri.
En 1855, elle a été vendue à la Cie des Mines Forges et Fonderies d'Alès.
Un puits appelé Notre-Dame a été creusé et les premiers bâtiments ont été construits vers 1870, pendant l'inondation des mines de fer de Palmesalade (Portes).
L'exploitation a été peu active jusqu'à une reprise en 1918, avec la rééquipement du puits Notre-Dame et la construction de nouveaux bâtiments en 1926 (lampisterie, compresseur, treuil électrique) et 1933 (forge et magasin).
Après la Libération, le site était pratiquement épuisé et n'a pas été inclus dans le plan de réorganisation du bassin.
Les bâtiments restants ont été vendus à un particulier en 1952.