Usine De Blanchiment, Puis Briqueterie, Actuellement Usine Liée Au Travail Du Bois Coquainvilliers

Le bâtiment est composé d'un logement de contremaître et d'un bureau, qui sont combinés en un seul corps de bâtiment.
Il a un étage de comble et un toit à croupe en ardoise.
La salle des machines est en brique et possède également un toit à croupe en ardoise, tandis que l'atelier est en brique avec un toit à croupe et un lanterneau en tuile mécanique.
Il y a deux logements d'ouvriers, l'un en brique avec un toit à longs pans en ardoise et l'autre en brique partiellement enduit et avec un pan de bois, avec un toit à longs pans en tuile mécanique. Construite en 1873, l'usine de blanchiment est devenue inactive en 1907.
En 1918, Alphonse Duschesne-Fournet l'a transformée en briqueterie avec un atelier de fabrication, deux fours Hoffmann, un atelier de réparation, une forge, un logement de contremaître et un bureau.
La chute d'eau a été réglementée par des arrêtés en 1918 et 1922.
Une salle des machines a été construite vers 1923 abritant une turbine Francis pour produire de l'électricité pour les machines et l'éclairage des ateliers.
Un parc à charbon et une voie ferrée ont été aménagés dans les années 1930 pour relier l'usine à la gare voisine du Breuil-en-Auge.
La briqueterie a été détruite entre 1950 et 1953.
Le site est maintenant occupé par l'entreprise Pérurena qui fabrique des palettes de manutention.
Il reste le logement de contremaître, le bureau, la salle des machines et un ensemble de logements d'ouvriers.
La salle des machines comprend une turbine à palettes, un générateur électrique, une machine de régulation du débit d'eau, un transformateur et des moteurs électriques pour commander les vannes.
La briqueterie employait entre 220 et 230 ouvriers.