Forge Dite Ferme De Rome, Séchoir à Houblon Bèze

Le texte décrit un ensemble de bâtiments situés de part et d'autre de la rivière Bèze.
À l'est se trouve le bâtiment principal, qui est allongé et traversé par un passage couvert plafonné au milieu.
Ce passage est aligné avec une passerelle qui traverse la rivière.
Le corps gauche du bâtiment est utilisé comme habitation, avec un rez-de-chaussée et un étage carré, tandis que le corps droit a été transformé en séchoir à houblon avec un étage de soubassement accessible depuis la façade et un étage carré.
Les séchoirs sont ventilés à l'arrière par 10 petites ouvertures rectangulaires.
Il y a également un calorifère au rez-de-chaussée surélevé.
Du côté ouest de la rivière se trouve un bâtiment rectangulaire remanié, qui abrite actuellement une habitation avec un rez-de-chaussée de plain-pied et un étage carré.
Il y a une arcade en plein-cintre dans le mur postérieur.
Au sud-ouest se trouve un autre bâtiment qui abrite une grange entre une écurie et une habitation de plain-pied.
Les toits sont à croupes sur le bâtiment principal, l'habitation actuelle et la grange, et à demi-croupes sur les autres bâtiments. Un pèlerin de retour de Rome a donné un lieu à l'abbaye de Bèze, selon Courtépée.
En 1519, S.
de Montenay a attesté qu'une meule à aiguiser les taillants, actionnée par la Bèze, était présente à Rome.
Un foulon à draps a été construit à la même époque et a été cédé en 1578 par l'abbaye de Bèze à Antoine Pennerot, qui a ensuite créé une papeterie.
La meule a été remplacée par un fourneau.
En 1608, une forge a été construite par Jean Joly de Bèze et Léger la Piche de Chevigny.
En 1778, Joseph Guillaume Rochet, maître de la forge de Bèze, a acheté la papeterie de Rome sous Bèze et a construit une tirerie de fil de fer, un martinet et une clouterie.
L'abbé Guelaud a béni les constructions en novembre de la même année.
En 1893, la fabrication des faux était encore en activité dans le bâtiment principal, qui a été transformé en séchoir à houblon.