Jonathan Pluriendlavie7 rue d'en haut99 Blague Autre Bétisier

Blague catégorie Autre Bétisier : Jonathan Pluriendlavie7 rue d'en haut99

  • Jonathan Pluriendlavie7 rue d'en haut99

    Jonathan Pluriendlavie
    7 rue d'en haut
    99 627 Aufond
    Caisse d'assurance Maladie
    99 515 Trifouilly les oies
    Monsieur,
    Vous trouverez, ci-dessous, l'explication de faits qui se sont
    déroulés la semaine dernière, sur mon lieu de travail.
    Je devais descendre un stock de briques qui était resté au dernier
    étage d'un immeuble sur lequel je travaille.
    Pour m'économiser des efforts, j'ai fixé un madrier avec une poulie
    en haut du batiment, puis j'ai passé une corde dans la gorge de la
    poulie, la corde étant assez longue pour toucher le sol par chacun
    de ses bouts.
    J'ai attaché un baril vide au bout de la corde, puis je l'ai monté en
    haut du batiment. Ensuite j'ai attaché l'autre bout de la corde à un
    arbre pour que le baril reste suspendu dans les airs.
    Là, je suis monté sur le toit, puis j'ai rempli le baril de briques.
    Ensuite je suis retourné en bas pour détacher la cordede l'arbre,
    afin de faire descendre ce satané de baril. Mais le putain de baril
    était bien trop lourd pour moi et avant que je realise quoi que ce
    soit, voilà le baril qui descend d'un seul coup, et par la même
    occasion, qui me monte en l'air d'un seul coup.
    Comme je n'avais pas lâché la corde, à la moitié du chemin, j'ai
    rencontré cette merde de baril qui descendait: j'ai alors reçu un
    énorme de coup sur l'épaule... Qu'est-ce que ça m'a fait mal!!!
    Mais c'est pas tout: ensuite, j'ai continué à monter. Rendu en haut,
    je me suis éclaté la tête sur ce bon sang de m... de madrier, et au même
    moment, je me prends les doigts dans la poulie!
    J'ai cru perdre connaissance à cause de la douleur à ce moment là.
    Quand le baril toucha terre, son fond a éclaté, libérant les briques.
    Du coup, il n'y avait plus assez de poids pour me retenir en haut du
    batiment. C'est pour ça que je suis redescendu comme une masse.
    Comme la première fois, j'ai croisé le tonneau
    qui cette fois-ci montait. Là, je l'ai reçu en plein dans ma jambe.
    Ça m'a encore fait un mal de chien. Arrivé en bas, je me suis
    complètement vautré sur le tas de briques.
    Je pensais mourir sur place, et comme j'étais tout étourdi, sans m'en
    rendre compte, j'ai laché la corde.
    4 secondes plus tard, j'ai reçu un énorme coup sur la tête, et c'est
    comme ça que je me suis retrouvé à l'hôpital.
    C'est pour cette raison que j'ai l'honneur de vous demander un mois
    de congés maladie.