Phare De Creac'h (etablissement De Signalisation Maritime N° 6423/000) Ouessant

Le texte décrit un phare situé à une hauteur de 70 mètres au-dessus du niveau de la mer.
La tour cylindrique est en maçonnerie lisse et mesure 54,85 mètres de hauteur.
Elle est accompagnée d'autres bâtiments en forme de U et est surmontée d'une lanterne de deux niveaux.
La première optique a été installée le 20 décembre 1863, avec un feu à éclipses de 20 secondes en 20 secondes, alternant un éclat avec deux éclats blancs.
La cuve à mercure date de 1901 et les combustibles utilisés ont été l'huile végétale depuis 1863 et l'huile minérale à partir de 1875.
Le phare a été électrifié en 1888 et dispose actuellement d'une lampe aux iodures métalliques de 200W.
La portée du phare est de 32 milles et il est équipé d'un vibrateur ELAC-ECAU 2200 sur la roche W. Le 20 décembre 1863, une tour cylindrique en maçonnerie de 46,50 m de hauteur est allumée au sommet.
Le projet a été conçu par l'ingénieur de Carcaradec et réalisé sous la direction des ingénieurs Maîtrot de Varennes et Rousseau, avec l'aide de l'entrepreneur brestois Tritschler.
En 1867, une trompette HOLMES est installée à l'extrémité de l'île d'Ouessant pour produire un son toutes les 10 secondes.
Le 4 novembre 1888, le feu est électrifié et émet deux éclats blancs toutes les 10 secondes.
L'appareil optique d'origine est démonté et remonté sur le phare voisin du Stiff.
Ce feu fait partie du deuxième plan d'électrification des phares, qui comprend également le Créac'h d'Ouessant, Belle-Ile-Goulphar, Barfleur-Gatteville, Ile d'Yeu/Grande Foule, la Coubre et Eckmühl.
En 1912, un radiophare est ajouté, suivi en 1932 par l'installation d'un diaphone.
En 1939, une nouvelle lanterne est présentée à l'Exposition Universelle de Paris de 1937 et un nouveau feu est installé, mais les caractéristiques restent les mêmes.
Le feu du Créac'h est alors le plus puissant du monde.