Usine électrométallurgique, Puis Usine De Transformation Des Métaux Tréfimétaux Dives-sur-mer

Il s'agit d'une description de différents bâtiments et logements.
Le premier est un logement patronal qui possède un étage carré et un étage de comble, construit en brique, calcaire et enduit partiel, avec un toit à longs pans à pignon découvert en ardoise.
Il y a également un bureau à un étage carré en calcaire et brique, avec un toit en terrasse et à longs pans à pignon découvert en ardoise, ainsi qu'un atelier de fabrication en rez-de-chaussée en brique et enduit. Il y a deux cités ouvrières décrites.
La première possède des maisons d'un étage carré en enduit et brique, avec des toits à longs pans en tuile mécanique.
Certaines ont un étage de comble, d'autres ont un toit à demi-croupe en tuile mécanique.
La seconde cité ouvrière a des maisons en rez-de-chaussée surélevé, sous-sol et comble, construites en enduit et brique, avec des toits à longs pans et à demi-croupe en ardoise ou en tuile mécanique.
Certaines ont un étage carré et un comble, tandis que d'autres ont simplement un rez-de-chaussée.
Enfin, il y a des logements de contremaître qui possèdent un étage carré et un étage de comble, construits en moellons de calcaire, enduit, brique et pan de bois, avec des toits à croupe, à demi-croupe et en pavillon, en tuile plate. L'usine de Dives a été construite en 1891 par Pierre Secrétan et des industriels anglais sous le nom de Elmore's French Patent Copper Depositing Company Limited.
Elle avait initialement 32 logements et produisait des produits à base de cuivre et de zinc.
L'usine a été réglementée par arrêté en 1891 et a ajouté de nouveaux logements vers 1897, 1900, 1911 et entre 1913 et 1926.
En 1910, une cartoucherie a été construite pour démarrer le laminage de l'aluminium.
Vers 1930, le laminage de l'aluminium a été abandonné au profit du maillechort.
En 1952, l'usine de Dives produisait des planches, bandes, disques, flans monétaires et barres creuses en cuivre et alliages pour différentes industries.
Il y avait également une centrale thermique qui a été détruite en 1944 et remplacée par une centrale au mazout attestée en 1952.
L'usine avait deux fonderies, un atelier d'électrolyse, deux ateliers d'étirage, trois ateliers de laminage, un atelier de découpage, un laboratoire et des ateliers d'entretien.
Un nouveau laminoir a été installé en 1982, mais l'activité a cessé en 1986.
Depuis, le site a été partiellement détruit pour faire place à un port de plaisance.
L'usine a été exploitée par plusieurs sociétés, dont la Société Française d'Electrométallurgie, la Société d'Electrométallurgie de Dives, la Compagnie Générale d'Electrométallurgie, la Compagnie Générale du Duralium et du Cuivre (CEGEDUR) et Tréfimétaux.
Le nombre d'employés est passé de 2149 en 1917 à environ 930 en 1983.