En Birmanie, un colonel donne les dernie Blague Police et Militaire

Blague catégorie Police et Militaire : En Birmanie, un colonel donne les dernie

  • En Birmanie, un colonel donne les dernie

    En Birmanie, un colonel donne les derniers conseils à ses G.I. avant que ceux-ci
    partent au combat :
    ' G.I.'s ! Je suis fier de vous, vous allez au combat. Mais avant que vous ne
    partiez, je vais vous donner les trois grands secrets pour survivre aux trois
    grands dangers de la jungle :
    Le premier danger, ce sont les moustiques : ils apportent les piqûres qui font
    souffrir, mais surtout la malaria qui peut tuer les plus résistants.
    Contre les moustiques, vous avez la bombe de fly-tox : vous prenez la bombe et
    vous vaporisez; si la bombe est finie, vous en avez une de rechange dans la
    poche droite, vous vaporisez jusqu'à ce que les moustiques soient tous morts et
    vous survivrez aux moustiques.
    Le deuxième danger, ce sont les niakwés. Ce sont de farouches combattants
    fanatiques et bien armés. Contre les niakwés, vous avez le pistolet-mitrailleur
    : vous prenez le pistolet-mitrailleur et vous mettez le chargeur, puis vous
    tirez sur les niakwés; si le chargeur est fini, vous en avez un de rechange dans
    la poche gauche, vous tirez jusqu'à ce que tous les niakwés soient morts et vous
    survivrez aux niakwés.
    Le troisième danger, le pire, c'est le terrible serpent mamba rayé orange et
    noir. Sa morsure est mortelle en moins de trente secondes. Contre le terrible
    serpent mamba rayé orange et noir, vous n'avez que votre courage et la tactique
    que je vais vous donner :
    Si vous voyez un terrible serpent mamba rayé orange et noir, vous faites le
    tour, vous en prenez le bout de la queue entre le pouce et l'index, sans serrer,
    et vous remontez doucement le long de la colonne vertébrale jusqu'à ce que vous
    puissiez serrer le cou juste derrière la tête. Alors vous le prenez, et vous lui
    tordez le cou, et c'est ainsi que vous survivrez au terrible serpent mamba rayé
    orange et noir.
    Voilà G.I.'s, vous êtes prêts à partir... Bonne chance !Ý'
    Un mois après, les G.I.'s rentrent de leur mission. Le colonel est là et
    interroge les soldats :
    'Ahh, colonel, c'était terrible... Les moustiques, des nuées de moustiques...
    Mais j'ai fait comme vous nous avez conseillé : j'ai pris le fly-tox, j'ai
    vaporisé, j'ai tué des milliers de moustiques. Ma bombe s'est vidée, j'ai pris
    la bombe de rechange dans la poche droite, et j'ai continué à vaporiser. La
    deuxième bombe s'est vidée, et il y avait encore des moustiques, alors j'ai pris
    la bombe sur le cadavre de mon copain qui était tombé à coté de moi, et j'ai
    continué à vaporiser... Au moment où la bombe finissait, j'ai tué le dernier
    moustique qui est tombé raide mort. J'étais sauvé.'
    Un deuxième soldat :
    'Ahh, colonel, c'était terrible... Les niakwés, des nuées de niakwés...
    Mais j'ai fait comme vous nous avez conseillé : j'ai pris le
    pistolet-mitrailleur j'ai tiré, j'ai tué des dizaines de niakwés. Mon chargeur
    s'est vidé, j'ai pris le chargeur de rechange dans la poche gauche, et j'ai
    continué à tirer. Le deuxième chargeur s'est vidé, et il y avait encore des
    niakwés, alors j'ai pris le chargeur sur le cadavre de mon copain qui était
    tombé à coté de moi, et j'ai continué à tirer... Au moment où le chargeur
    finissait, j'ai tué le dernier niakwé qui est tombé raide mort. J'étais sauvé.'
    Alors le colonel voit arriver un G.I. sur une civière; il est complètement
    explosé, lacéré, en sang, au bord de l'inconscience.
    'Mais, G.I., que s'est-il passé? Les niakwés?
    - Oh non, colonel, c'est le terrible serpent mamba rayé orange et noir!
    - Mais je vous avais pourtant dit comment procéder!
    - Oui, mon colonel, et j'ai fait comme vous l'aviez dit ! J'ai vu le terrible
    serpent mamba rayé orange et noir, j'ai fait le tour, j'en ai pris le bout de la
    queue entre le pouce et l'index, sans serrer, et j'ai remonté doucement le long
    de la colonne vertébrale jusqu'à ce que je puisse serrer le cou juste derrière
    la tête.
    Mais alors là, sauf votre respect, colonel, mais j'aurais bien voulu vous y
    voir, vous, avec deux doigts dans le trou du cul d'un tigre !'