Blague catégorie Adultère et familiale : Un soir, Charles-Hubert de Plouhanec qui
Un soir, Charles-Hubert de Plouhanec quitte son pavillon (de six étages) de
Neuilly avec la Rolls pour se rendre dans le petit bar qu'il fréquentait, étant
militaire, voilà déjà longtemps. Il cherche son vieux pote Marcel... et le
trouve.
- Salut, Marcel !
- Eh mais, l'aristo ! Ça fait une paie !
- Ben oui, que veux-tu. Dis...
- Ouais. T'as besoin d'un tuyau, hein ?
- Ben oui. Me faudrait une fille, mais alors, très maigre, tu vois ?
- Mouais. Va deux rues derrière le bistrot, et tu demandes la grande Monique, de
ma part.
- Merci vieux !
Et il suit les indications de Marcel. Ayant trouvé Monique (une perche maigre à
faire peur), il lui demande :
- C'est combien ?
- 200 mon loup.
- OK, montez. Et il ouvre la portière.
- Ah non (elle louche sur la bagnole), t'es un richto, toi, et ils sont tous
malades, les riches. Moi, je suis une honnête pute, pas de cochonneries, hein !
- Bon, bon. voilà 200 de plus et taisez-vous.
Elle monte dans la Rolls, il démarre et 15 minutes plus tard arrive chez lui.
Monique : 'Oah non, hein, dans ces grandes maisons, il s'y passe trop de choses.
On retourne à mon hôtel, je marche pas!' Il lui cloque encore 200 frs, elle se
tait et le suit.
La faisant entrer dans le salon (celui où il y a le piano), il appelle la bonne
et lui demande : 'Gertrude, faites venir Marie-Louise, je vous prie'. Se
retournant vers la grande Monique : 'Et vous, déshabillez-vous!'
Monique : 'Beeeh ! Vicelard ! Avec une fille ? Pas mon truc. Je me tire.'
Il lui redonne 200 frs: elle se déshabille.
La servante entre alors, avec une petite fille de six ans. La prenant par la
main, il s'approche de la grande Monique et lui dit :
- Vous voyez, Marie-Louise, comme vous deviendrez si vous ne mangez pas bien
votre soupe ?